Elisabeth
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Date d'inscription : 17/05/2010
 |  Sujet: Correspondance avec le GMF  Dim 28 Aoû - 0:37 | |
| - Citation :
- A Vous, Dotch de Cassel, Grand Maître de France,
De Nous, Elisabeth Stilton de Lasteyrie, Grand Audiencier de France, Bâtonnière de l'Ordre des Avocats du Dragon, et nombreuses autres fonctions juridiques,
Salutations,
Le Chancelier de France nous a fait part de votre demande et des raisons qui vous ont poussé à la faire. Nous prenons la plume en ce jour pour vous expliquer pourquoi il n'y a pas de conflit entre nos deux postes. Déjà nous n'aurions jamais permis que la justice ne soit pas donné équitablement sinon nous ne ferions pas ce métier qui est plus une vocation donnée par feue notre mère. D'ailleurs de part notre poste de Grand Audiencier j'ai accès à la salle des officiers de la CA mais comme j'ai encore des procès en route je n'ai fais aucune demande d'accès et attends patiemment mon dernier procès pour pouvoir faire mon rôle d'officier royal.
Nos charges et accès en tant que GA sont les suivantes, nous participons au parlement royal qui est un collège de magistrats ayant pour objet la rédaction des textes de loi, et d’amendements du Droit Royal., nous dirigeons la chambre des exécutions qui est responsable De l’application des verdicts et De la surveillance des juridictions inférieures. Nous avons accès à la salle des séminaires qui est en stand bye, la bibliothèque qui est plus une salle d'archive qu'autre chose et la salle de discussion avec la pairie où nous déplaçons de la poussière en espérant voir un pair ou deux pour parler justice avec eux.
Nos charges au sein des dragons, sont la direction de l'Ordre et de sa faculté. Nous enseignons également le cours sur les Institutions du Royaume, les provinces vassales et le DR. Concrètement nous sommes là pour renseigner les gens, gérer les plaintes vis à vis de l'ordre ou d'un de ces membres et faire vivre ce dit ordre, tout cela en plus de la gestion de la faculté et de notre cours. La relation avec la clientèle est faite par notre adjoint Messire Jorocket. Il est rare de voir des plaidoiries au sein de la salle de travail, cependant oui comme la logique le veux nous parlons de droit et de lois.
Comme vous pouvez le constater, à aucun moment la HCJ n'est évoqué, et pour cause, la seule raison pour laquelle nous y mettons les pieds c'est comme avocat de l'accusation. Que se soit la salle de délibération de la HCJ ou la Curia nous n'avons accès à rien. Regardez les registres. Les seuls bureaux qui nous sont ouverts à la Curia sont ceux des écuries et une alcôve du Grand Chambellan.
Vous auriez pu exiger que nous arrêtions de plaider, nous l'aurions parfaitement compris, activité que nous diminuons de nous même. Cependant nous ne voyons pas à l'heure actuelle ce qui vous tracasse. Nous vous demandons alors de reconsidérer votre demande, nous permettant ainsi d’œuvrer au mieux pour la justice française.
Respectueusement.
Fait à Paris le vingt septième jour du moi d'aoust de l'an de grasce 1459.
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